Le blogue du Bioparc

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Un peu d’histoire…

Le Bioparc de la Gaspésie souligne ses 15 ans d’existence en 2013.  Mais saviez-vous que de 1969 à 1990, une section des terrains actuels du Bioparc abritait le Zoo de Bonaventure ?  En effet, de 1969 à 1972, M. Raymond Bourque, un trappeur de la région, offre aux visiteurs la possibilité de visiter sa ménagerie.  À l’époque, le zoo était davantage une ménagerie qu’un jardin zoologique dans le véritable sens du terme.  À ce moment, le zoo avait davantage une vocation d’amusement plutôt qu’une mission éducative.

 

En 1972, la Ville de Bonaventure racheta le zoo et des investissements y furent consacrés afin de revoir les aménagements.  La Ville de Bonaventure opéra le jardin de zoologique jusqu’en 1990.  À ce moment, en raison de la désuétude des équipements, le zoo fut définitivement fermé.  Quelques mois plus tard, en 1991, un projet, issue du milieu, de centre d’observation de la faune et de la flore est mis de l’avant.

 

C’est près de 5 ans plus tard, soit en 1996, que les travaux de construction du Bioparc débutent.  Les travaux se termineront 2 ans plus tard, en juin 1998, tout juste à temps pour l’ouverture officielle du jardin animalier de la Gaspésie, le Bioparc.

 

Dix ans après l’ouverture, de nouveaux travaux viendront rehausser et bonifier les activités et services offerts par le Bioparc.  C’est ainsi que viendront s’ajouter, par exemple, de nouveaux habitats comme celui des loups, l’insectarium, la petite ferme et les chalets locatifs sur la pointe Beaubassin.

 

Toujours à l’affût afin d’offrir constamment de nouvelles activités à ses visiteurs, l’équipe du Bioparc travaille activement sur d’autres projets qui verront bientôt le jour : excursions nautiques à caractère écologique dans la Réserve aquatique de l’estuaire-de-la-rivière-Bonaventure, nouvel habitat pour les phoques communs, nouvelles espèces animales, et bien d’autres choses encore…

 

 

Photo : Bioparc de la Gaspésie – La première pelletée de terre 1997

Auteures : Mélissa Dumont et Marie-Josée Bernard